Humanitarian Vision

 

Sénégal – Cameroun – Haïti
Madagascar – Bénin – Bangladesh

Missions solidaires

Missions informatiques en Afrique & Asie.

 

Mes missions humanitaires

Ce blog a pour  petite ambition de relater quelques expériences – plus ou moins heureuses – de missions dites humanitaires.
A ce jour, j’ai effectué cinq missions en Afrique francophone et en Asie.
Comment trouve-t-on ces associations et ONG qui proposent des missions de toutes natures dans les zones où la demande d’aide est importante.
Ici, on ne parle que des structures mettant en relation les candidats au volontariat et les associations établies à l’étranger.
Les plus connues – apparaissent en bonnes positions – sur les moteurs de recherche : Project abroad (voir l’article qui lui est consacré ICI) ; Planète Urgence et son concept congés solidaires ® ; Développement sans Frontières; etc.
Toutes ces dernières citées se comportent en entremetteuses. Sous le statut de « Loi 1901 », elles offrent aux volontaires une réduction d’impôts substantielle sur le coût de l’opération.
L’adhésion est relativement modeste mais le droit que l’on pourrait qualifier « d’entrée est élevé ». Il couvre les frais de mise en place de la mission, quelques journées de formation.
Les frais de transport (domicile – lieu de la mission), sont à la charge du volontaire.

 

Les photos de l’association : son école, fastfood et le salle de formation informatique :

Mission au Sénégal

Au Sénégal
[su_spoiler title= »- L’association Waranka » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

L’association Waranka opère dans un quartier particulièrement abandonné de Dakar : Guinaw Rail.
Son président par sa connaissance du quartier et de ses difficultés :
– Rues inondées en période de pluie ;
– Problèmes d’alimentation en eau et électricité ;
– Services publics absents : écoles, dispensaires etc.
lui permet d’être un interlocuteur écouté auprès des administrations et du pouvoir à Dakar.
Waranka s’appuie sur un réseau de bénévoles et de donateurs (Ex Le rallye Paris-Dakar).
En revanche l’association n’est pas un modèle de tolérance et applique dans son école des méthodes contestables.

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- La mission » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Mission coordonnée et supervisée par l’ONG : ‘Développement sans Frontières’
L’objectif fixé entre DSF et Waranka était la formation informatique-bureautique de 3 groupes de stagiaires.
– un groupe de jeunes en initiation ;
– deux groupes d’adultes en activité pour une formation « à la carte » tenant compte des contraintes d’horaires et leurs centres d’intérêts privés et/ou professionnels.
Le matériel : Les 4 PC anciens, pollués par les virus, en très mauvais état ont nécessité un démontage et nettoyage complet.
Le bilan : seuls les 2 groupes « adultes » ont réellement bénéficié des cours, le 1er, en initiation, trop peu assidu et ne respectant pas les consignes du responsable informatique local n’a pas fait les progrès souhaités.

Bilan : Mission moyennement réussie.

[/su_spoiler]

Le carrefour Essombé à Yaoundé – Cameroun

Quelques vues de la salle de cours.
Le carrefour « Essombé » son petit marché et sa circulation infernale : spectacle assuré !
Au loin une construction en cours.

[su_slider source="media: 209750,209749,209748,209747,209744,209743,209742,209741,209746,209745" link="custom" target="blank" width="220" height="200" speed="1000"]

Au Cameroun

Au Cameroun
[su_spoiler title= »- L’association FEPED » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Elle est installé ses bureaux au 2eme étage d’un immeuble du ‘Carrefour Essombé’ dans la banlieue de Yaoundé.

Petite structure autour de sa Présidente :
– Une secrétaire : chargée de représenter FEPED dans les diverses manifestations locales et gérer les sessions de formations.
– Un technicien-informaticien : en responsabilité du Cyber qui assure sa maintenance, l’entretien des locaux, la formation à la demande.

Le Cyber est reconnu pour la qualité de ses équipements et un service parfait et surtout bon marché.
Ces deux collaborateurs travaillent bénévolement dans d’extrêmes difficultés.
Cette situation de précarité se retrouve très souvent chez ces jeunes diplômés qui éprouvent les plus grandes difficultés pour trouver un travail normalement rémunéré.
Cette association semble aujourd’hui en sommeil.

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- La mission » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

La mission – objectifs et réalisations. »

La secrétaire avait constitué des groupes de niveaux tout en privilégiant des jeunes diplômés de la faculté de droit qui demandaient un perfectionnement en bureautique tout en associant les techniques de l’Internet.
Les formations dispensées dans la salle annexe du Cyber ont favorisé des allers retours bureautique/internet dont les connexions étaient offertes la durée du stage.
Les autres groupes formés de jeunes n’ayant aucune connaissance informatique ont découvert les ordinateurs et les logiciels de traitement de texte et de présentation.
N’ayant jamais eu l’occasion de « surfer » faute de temps et surtout de moyens ils ont pu faire leur apprentissage dans de bonnes conditions.
L’ensemble de ces stagiaires avaient reçu – contre une minime contribution – une clé USB sur laquelle ils ont pu sauvegarder travaux et cours.[/su_spoiler]

Photos prises du balcon de l’association.

Maer Achol – Dacca – Bangladesh

 

Quelques photos prises dans le foyer ou au cours des sorties dans le parc voisin sous la surveillance des monitrices.
L’ONG « Partnairs » gère le foyer Maer Achol à Dacca – Bangladesh

Au Bangladesh

Au Bangladesh
[su_spoiler title= »- L’Histoire oubliée du mur' » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Un peu de l’histoire oubliée du mur entre l’Inde et le bangladesh.
Pendant deux ans, le photographe belge Gaël Turine a arpenté le mur de séparation édifié entre l’Inde et le Bangladesh à partir de 1993. Le résultat, fascinant, fait l’objet d’un livre et d’une exposition à Visa pour l’image.
A lire ICI.   Quelques photos de Gaël Turine : [amazingslider id= »17″]

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- L’association ‘Partenaires' » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

L’association ‘Partenaires’ se concentre sur le développement local.
Son objectif : l’autonomie des populations.
Actuellement son action vise :

– l’éducation au Bangladesh dans une structure éducative : Maer Achol.
– les problèmes d’eau (adduction et hygiène) au Myanmar.

Des opérations au Mozambique sont aujourd’hui terminées.
Fondée en 1991 par Christian RAYMOND, l’ONG opère dans les régions les plus pauvres du monde.

Elle se caractérise essentiellement par :

– L’emploi sur place d’un personnel qualifié, composé d’un volontaire délégué coordonnant des équipes locales ;
– Une optimisation  des recettes affectées aux diverses missions ;
– Des frais de fonctionnement toujours inférieurs à 5%.

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- La mission : Objectifs » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Mission 2012 à DACCA

– former deux élèves du foyer Maer Achol destinés à l’encadrement des stagiaires ;
– mettre en place deux salles de formation informatique :

– la première par re-condionnement et redéploiement des P.C existant ;
– la deuxième par acquisition d’ordinateurs neufs ‘haut de gamme’ pour des travaux orientés création & graphisme.

Les deux futurs formateurs ont participé à la mise en service des salles, à l’installation des matériels et logiciels. Et, enfin ils ont procédé aux tests d’évaluation des niveaux de compétences pour assurer une formation adaptée aux stagiaires.

Mission 2016 DACCA.

Formation aux outils bureautiques des ados et jeunes adultes qui seront appelés à quitter le foyer pour un emploi salariés à court terme.[/su_spoiler][su_spoiler title= »- Maer Achool : Un foyer exemplaire. » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Maer Achol accueille les enfants abandonnés à la rue pour leur donner la possibilité de suivre une scolarité dans un environnement très protégé.
Ils bénéficient d’un encadrement de qualité, de soins, de diverses animations et de l’accès à un enseignement soit sur place soit à l’extérieur.
Ce qui attire l’attention du visiteur est à la tenue admirable des enfants et adolescents.
L’appel de la rue reste constant – ils n’ont aucune obligation de rester à Maer Achol – si majoritairement ils acceptent la discipline de la structure et l’accès à l’enseignement qui devraient les conduire vers une activité salariée hors Maer Achol, quelques uns retournent à la rue et sa liberté.
En fin 2012, l’association acquiert un grand appartement pour accueillir les garçons adolescents, laissant ainsi Maer Achol aux filles et soldant ainsi d’éventuels problèmes de promiscuité.

Extrait de l’émission TV 5 « Visa pour l’Aventure » le foyer Maer Achol ….. > ICI  

[/su_spoiler]

En Haïti

 

En Haïti
[su_spoiler title= »- Haïti en quelques chiffres » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Haïti en quelques chiffres.

Nom officiel : République d’Haïti.
Superficie : 27 750 km²
Capitale : Port-au-Prince (environ 3 millions d’habitants)
Villes principales : Cap-Haïtien, Gonaïves, Hinche, Jacmel (la moitié de la population est urbaine).
Langues officielles : le créole (langue parlée par la majorité de la population) et le français (langue d’apprentissage scolaire).
Indice de Développement Humain : 0,454 – 161ème (sur 187 pays, source PNUD rapport 2013).
Population 10,1 millions d’habitants.
Densité : 355 habitants/ km²
Croissance démographique annuelle : 1,7 %
Population de – 20 ans : 50%
Taux de fécondité : 3,2 (4,2 en 2000 – urbain : 3 enfants par femme, rural : 4)
Espérance de vie à la naissance : 61 ans
Taux d’alphabétisation (PNUD) : 48,7 %
Religions : 55 % catholiques, plus de 40 % protestants; la pratique du vaudou reste dominante.

Monnaie : la gourde (HTG) 1 € = 52 Gourdes (septembre 2012)
PIB (Banque Mondiale, 2011) : 6,7 MdUS$ (3,65 MdUS$ en 2000 et 2,8 MdUS$ en 1990)
PIB par habitant (2011) :840 US$ par habitant

Taux de croissance : 2,8 % (2011-2012 Trésor).
Taux de chômage : 27 % (officiel, mais deux tiers des Haïtiens sont touchés par le chômage ou le sous-emploi.)

Taux d’inflation (2013) : 7,3 % (touchant notamment les denrées alimentaires)

Communauté française en Haïti (2012) : 1 550 inscrits dont 600 binationaux.
Communauté haïtienne en France : 100 000 (estimation – dont 40.000 sur le territoire métropolitain, 30.000 en Guadeloupe, 25 000 en Guyane et 5 000 en Martinique et Saint-Barthélemy)

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- Situation économique » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Situation économique.

En dépit des pertes massives causées par le séisme, les financements internationaux ont
permis de contenir, la baisse du PIB haïtien à -5,1 % en 2010. La croissance a repris en
2011 (+6,7 %) et en 2012 (+4,5 %). Le déblaiement des 11 millions de mètres cubes de
gravats est achevé pour l’essentiel, et la reconstruction, basée sur des projets de long
terme, a débuté.
L’économie haïtienne n’en reste pas moins marquée par une triple dépendance :
– budgétaire (50 % du budget et 80 % des investissements proviennent de l’aide
extérieure)
– énergétique (importation de la totalité des hydrocarbures) ;
– alimentaire (importation de 60 % des besoins alimentaires en dépit d’un fort potentiel agricole).

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- Haïti : un peu d’Histoire. » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Haïti : un peu d’Histoire.

L’île d’Hispaniola a été découverte par Christophe Colomb en 1492. Elle est alors habitée par deux populations autochtones: les Arawaks et les Caraïbes. Toutes deux seront rapidement décimées par les travaux forcés (extraction d’or) auxquels les Espagnols les soumettent. Pour remplacer cette main d’œuvre, les colons font appel à des esclaves africains. Avec les Mulâtres (métis), ils sont les ancêtres de l’immense majorité des Haïtiens.

Article de la revue Hérodode …. > ICI

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- L’association. » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Année : 2011
ONG co-ordinatrice : Néant
Association hôte : Orphelinat sœur Flora – Ile à vache

Elle est installée dans un vaste ensemble immobilier sur l’Ile à Vache.
Son objectif : assurer aux enfants orphelins (ou décrits comme tels) un toit et une scolarité normale. Dans le même temps elle prend en charge les enfants handicapés leurs assurant soins et présence.
L’association connaît régulièrement de problème de trésorerie : paiement du personnel ,entretien des locaux, divers approvisionnements. Association catholique elle peut faire appel aux bénévoles issus de l’ONG qui lui adresse des jeunes sur de longues périodes.
Parallèlement, elle reçoit – compte tenu de sa notoriété – divers dons et aides du réseau métropolitain d’associations acquis à sa cause à juste titre.
Sœur Flora, hostile à toute forme de délégation, gère seule avec autorité son orphelinat au risque d’être trop souvent débordée et inaccessible. (les 2 jeunes bénévoles ne sont restés que 6 mois sur les 12 prévus.)
De l’avis des bénévoles sur place – sage-femme, psychologue – son action auprès des orphelins est inadaptée et même critiquable, ses méthodes inadaptées.

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- La Mission. » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

La mission

Remettre en état de marche les ordinateurs de la salle informatique affectés par une surcharge électrique : 220v au lieu des 110 v exigés.
Cette mission, manifestement mal préparée ou à tout le moins sur des bases erronées est le prototype du parfait échec. Le responsable de la salle informatique dénommé ‘Fanfan’ payé par un mécène français n’avait manifestement aucune intention de remettre en état les P.C.
Son objectif était d’obtenir d’un important sponsor local en téléphonie mobile du matériel neuf et principalement des Laptop. « MachinTel donnera ».
2 PC sur 4 ont été remis en état de fonctionnement.

Le projet touristique et l’orphelinat de sœur Flora : Radio vatican

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- L’Ile à Vache » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

L’ile à vache

L’ile à vache se trouve au sud de Haïti à 5 heures de routes défoncées de Port au Prince qui porte encore les stigmates du tremblement de terre de 2010.
Aux ‘Cayes’ l’embarcadère, est un tas d’ordure ; aucun aménagement, c’est à dos d’homme que l’on embarque sur des barques ‘Yam‘. Par gros temps une simple bâche protège les passagers des embruns.
1 heure plus tard débarquement sur l’ile à Vache, le curé américain en place a construit une cale facilitant le débarquement ainsi que d’autres aménagement facilitant la vie sur l’Ile.
La première impression est l’extrême abandon : aucune liaison régulière pour rejoindre l’ile, pas de service public, le bâtiment qui devait abriter le marché ne sera jamais terminé (erreur de conception ), une population désœuvrée en attente d’aides diverses.
Un sentier nous mène à l’orphelinat en quelques minutes.
Mais un potentiel touristique suffisamment important pour qu’un projet de construction d’un aéroport international standardisé, contenant une piste d’atterrissage de 2,6 kms ; la construction de l’axe routier qui y mène; le dragage du port, l’électrification et l’éclairage de toute la zone environnante; la construction de plusieurs hôtels & resorts, la construction de 2,500 villas (condo), des restaurant soit étudiée etc. Des appels d’offre à investissements locaux et internationaux ont été déjà lancés. Quatre grands groupes internationaux de l’industrie touristique ont déjà manifesté leur intérêt à venir investir sur l’Ile (Qatar, République Dominicaine, Chine etc.).

Les derniers rebondissementsICI  –  Le journal

[/su_spoiler]

A madagascar

 

A Madagascar
[su_spoiler title= »- Les chiffres Malgaches : 2012″ style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]
Données économiques

Madagascar détient le triste record du pays le plus pauvre du monde avec ses 92% des Malgaches qui vivent avec moins de 2 dollars par jour

PIB (2012) : 9,975 Mds $ (Banque mondiale)
PIB par habitant (2012) : 447,5 $

  • Taux de croissance (2012) : 3,1 % (Banque mondiale)
  • Taux de chômage (au sens du BIT) : non renseigné
  • Taux d’inflation (prix à la consommation) : 6,35 % en 2012 (Banque mondiale)

Principaux clients : France (29% en 2012), Allemagne (7%), Chine (7%)
Principaux fournisseurs : Emirats arabes unis (15% en 2012), Chine (14%), France (6%)

Part des principaux secteurs d’activités dans le PIB :

  • agriculture : 28 % (Riz)
  • industrie : 15 % (Textile)
  • services : 57 % (Tourisme, TIC)

Exportations de la France vers Madagascar : 298 M€ en 2012
Importations françaises depuis Madagascar : 336 M€ en 2012

Bilan économique et social complet : ICI

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- Madagascar et son Histoire » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Madagascar et son Histoire.

Une page particulière mais essentielle.

Le 29 mars 1947 éclate une insurrection dans la colonie française de Madagascar.
La répression va provoquer des dizaines de milliers de victimes. L’article ICI

Un lien vers le site « Couleurs du Monde ».

[/su_spoiler][su_spoiler title= »- La mission » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Intervention dans une école de brousse dans des conditions techniques difficiles – alimentation électrique et nombre d’ordinateurs insuffisants.

[/su_spoiler]

Au Bénin

 

Au Bénin
[su_spoiler title= »- Mission au Bénin » style= »fancy » icon= »arrow-circle-1″]

Association / ONG : Graines de baobab

Formation générale informatique – bureautique et internet aux adhérents de cette petite association.
Le responsable avait réservé la salle d’un cyber pour accueillir les stagiaires répartis en 3 groupes de niveau.
Les cours  étaient dispensés matinspour les éléèves n’ayant aucune contrainte d’horaire et soirs pour ceux ayant des obligations dans la journée.
Ces derniers étant généralement des petits entrepreneurs ou employés.
Tous et toutes étaient particulièrement motivés. Ils ont subi un contrôle en fin de parcours
[/su_spoiler]

 

 

Myanmar – Bangladesh.

 

Le drame, l’errance des Rohingya.

L’errance des Rohingya.

C’est au cours d’une première mission à DACCA que j’apprenais l’existence dramatique  des Rohingya.

L’attaque menée en août par l’armée du Salut Arakan Rohingya (ARSA), un groupe militant dans l’état de Rakhine du Myanmar, a provoqué une réaction militaire brutale et aveugle ciblant la communauté Rohingya musulmane.
Cette agression a conduit à un exode massif de réfugiés, avec au moins 655 000 Rohingya fuyant pour le Bangladesh.
Après avoir subi de multiples tortures, viols ; leurs villages ont été brulé ; ils ont été chassés de la province de Rakhine à l’ouest du Myanmar.
Ils sont installés provisoirement au sud du Bangladesh – Cox’s Bazar – dans les pires conditions.
Les autorités bangladaises recherchent des solutions pour mettre à l’abri les réfugiés, alors que la saison de la mousson approche.

Dossier complet du ‘Monde’ : Romain Geoffroy